Pourquoi j'ai raté une fois de plus mon APO-T ?

Parce que ... En fait il y a 2 raisons :
- Je ne me suis pas assez motivé
- J'ai eu un petit garçon en milieu de mois

Et oui, je suis papa pour la deuxième fois, ce qui m'a laissé bien fatigué depuis le milieu du mois, et surtout trèèèèès occupé, car pendant que maman materne le nouveau né (et je l'aide sur certaines choses), il faut s'occuper de l’aînée, qui elle est très en demande et bouge de plus en plus.

Enfin bon, côté peinture, après un échec en juillet à 3 jours près, un échec en août car je n'ai pas pu terminé tout ce que je voulais peindre, voici mon troisième échec.

Bon il faut relativiser aussi, ce sont des semi-échecs car je ne suis pas resté sans rien peindre non plus.

Mon objectif du mois de septembre : Terminer la peinture du char Hammerhead de Longstrike + peindre une ou deux stealth
Résultat : C'est un échec total
Conséquence : Je met 1 euro de plus dans la cagnotte, pour un total de 3€

Oui je suis maso, je me remet un objectif en octobre.
Mon objectif du mois d'octobre : Terminer la peinture du hammerhead de Longstrike

Pourquoi je dois mettre 1 euro dans la tirelire APO ?

Parce que même si les photos ci-dessous semblent dire le contraire, j'ai bel et bien échoué au défi peinture du mois de juillet.

Reprenons depuis le début. APO ... bon en fait je ne sais plus ce que ça veux dire, mais le principe, c'est de se fixer un défi de peinture de figurine en début de mois, avec comme date limite la fin du mois. Troll Fayot et moi avons décidé de nous remotiver ensemble à peindre et nous nous sommes fixé un défi au mois de juillet.

Mon objectif : Terminer la peinture d'un pirahna, de 7 guerriers de feu et de DarkStrider
Le résultat : C'est un ECHEC
Pourquoi : Je n'ai pas terminé à temps. Bien que tout soit peint, j'ai terminé aujourd'hui, le 2 août.

Globalement le résultat est pas mal même si je vois des petites erreurs de peinture maintenant que je visionne les photos. En revanche, je ne peux pas prétendre avoir accompli mon défi avec succès, puisque j'ai terminé seulement aujourd'hui, le 2 août, la peinture des guerriers de feu. Donc comme Troll Fayot, je met également ma pièce dans le pot !

On commence par les photos du groupe :

On continue avec Darkstrider :

Puis le Pirahna :

Et enfin les Guerriers de Feu avec carabines :

Conséquence : Je met mon euro dans la cagnote !



Mon objectif du mois d'Août : Terminer la peinture du char hammerhead de Longstrike, terminer la peinture des 2 drones lance missiles accompagnant la Riptide, et peindre mes deux éthérés.
Mon avis : C'est largement réalisable.


Voila voila

Pourquoi je suis de retour ?

Parce que j'ai écris un nouvel article après plus d'un an d'absence, pardi !!!

C'te question à deux balles, tout ça pour respecter une espèce de règle idiote où je pose une question en "pourquoi".

Bon j'ai été absent longtemps et je ne sais pas si mon retour sera bien suivi, mais bon ...

Que s'est t'il passé durant l'année écoulée ?

- Ma fille a bien grandi. Elle marche, elle court, elle parle, elle se lève le dimanche à 5h30 du matin ...
Pas tout le temps ceci dit et heureusement. Bref, elle grandit, mais ça occupe un temps fou ces petites bêtes là.

- Ma compagne attend notre deuxième monstre pour septembre. Un garçon cette fois ! Et avant que les commentaires ne foisonnent, oui je sais, c'est le choix du roi ...

- Les figurines prennent un peu la poussière mais bon je vais m'y remettre, promis !

- Mon grand frère s'est marié, donnant lieu à un weekend sympa en Espagne, ponctué hélas par une mésaventure fort déplaisante sur le coup, car nos bagages étaient restés à notre point de départ, en France. Pas terrible de faire un mariage dans le costume de son frère, mais bon, c'est passé et aujourd'hui on en rigole bien.

Voila voila, d'autres news bientôt, peut être, qui sait ... ou pas ?


En attendant, voici 1 lien vers une vidéo Made in Pixar. De manière général, Pixar = trucs géniaux, enfin de mon point de vue. Là pour le coup, cette vidéo m'a vraiment fait rire, surtout qu'on ne s'attend pas à trouver du Nightwish dans une vidéos Pixar ! Alors certes c'est un tout petit extrait, pas métaleux, limite un sample, mais c'est quand même du Nightwish.

Lifted

Enjoy !

Pourquoi aujourd'hui est un jour particulier ?

Parce que quelque chose de rare est arrivé ce matin.

 En effet, depuis 10 mois que ma fille est née, il est devenu de plus en plus rare que nous soyons réveillé par ...

notre radio réveil !

:)

Pourquoi ma vie s'est remplie de paradoxes ?

Parce que j'ai une petite fille !!! 

Ou plutôt, de façon plus générale, j'ai un bébé. Et un bébé, c'est un générateur ambulant de paradoxes (non Niva, tu n'es plus un bébé toi !!). Voyez plutôt :

- Ça donne une énergie folle, mais qu'est-ce que ça fatigue ... 

- On a tout l'amour du monde pour lui, et pourtant, parfois ce n'est pas l'envie qui manque de vouloir le passer par la fenêtre ...

- Avoir un enfant fait murir un grand coup, et ça fait aussi retomber en enfance ...

- Ça occupe tellement de temps que bien qu'on l'aime, on attend qu'une chose : pouvoir s'en débarrasser pour quelques heures. Et quand on a réussi enfin à s'en débarrasser un moment, il nous manque.

Bref, on est pas rendu !

Pourquoi j'ai passé de bonnes vacances ?

Parce que j'étais à Lyon !!

Et qu'à Lyon, il y a mes parents, ainsi qu'une ville que je trouve jolie, le Rhône et ses quais remarquablement aménagés pour les piétons, la Saône, la basilique de Fourvière, les amphithéâtres romains, le parc de la Tête d'Or, la place Bellecour et son quartier commerçant, les gares de Perrache et Part-Dieu, le théâtre de Guignol, Paul Bocuse, un opéra qui ressemble à un hangar d'avion, la colline de la Croix Rousse, la soie, les traboules, le tablier de sapeur, les quenelles, la ficelle (le funiculaire qui relie le Vieux Lyon à la colline de Fourvière), la fête des Lumières en décembre, les vins de Côtes du Rhône et de Beaujolais pas loin et comme un peu partout en France, de la bonne bouffe !

Profitant du passage chez les parents, ma moitié et moi sommes partis en escapade sur la colline de Fourvière, puis jusque dans la vieille ville, accompagnés de Gigi, qui a fait quelques photos. Nous avons laissé la petite avec papy et mamie, et zou nous étions partis !!!

Passage par les amphithéâtres romains où se déroulent les "Nuits de Fourvière"

Arrivé à la Basilique, la vue sur Lyon est tout simplement imprenable.

On voit bien au loin la "tour crayon" du LCL (ancien crédit Lyonnais) dans le quartier de la Part-Dieu. Sur la gauche, le grand bout de vert au fond, le parc de la Tête d'Or. Juste devant nous également, la Saône, et la seconde "bande" verte, le Rhône. Sur la gauche, juste avant le parc, un gros hangar d'avion tout noir avec un toit arrondi : l'opéra.

Au premier plan, la cathédrale Saint Jean dans le Vieux Lyon, à peine derrière, la grande esplanade rouge de la presqu'île : la place Bellecour avec en son centre la statut de Louis XIV saluant la basilique

Au détour de la vieille ville, prière devant la cathédrale Saint Jean ...

... suivi d'une prière au pub Saint James :)

Petit passage par la Saône, avec la colline de la Croix Rousse au fond

Puis retour à la maison en empruntant la ficelle :)

Ces vacances furent agréables dans le sens où il est toujours plaisant de voir sa famille, de savoir qu'on peut lâcher son bébé quelques heures à tout moment (merci maman, merci papa), et surtout qu'on a pas d'horaire à tenir, pas de rendez-vous à rater, pas de marathon à accomplir ...

Même si la petite nous a pompé pas mal d'énergie physique, limitant d'autant le repos, du côté du mental, j'ai fait pas mal le vide :)

Pourquoi le hasard fait bien les choses ?

Voila une question à laquelle il est particulièrement compliqué de répondre. En effet si le hasard pouvait s'expliquer, il deviendrait prévisible et ne serait donc pas le hasard.

Néanmoins dans le cas que je vais évoquer, l'idée est de parler du hasard lorsqu'il permet à différents éléments de s'imbriquer les uns aux autres pour offrir quelque chose d'unique bien qu'éphémère : un instant de perfection, une évanescente étincelle de temps quasi divin où l'on se sent particulièrement bien.

Cela m'est arrivé sans doute plus souvent que je ne m'en souviens, pourtant il est deux situations dans lesquelles j'ai ressenti quelque chose qui, à mon goût, ressemblait vraiment à ce que j'appellerais "un petit bonheur".

L'hiver dernier tout d'abord. Sortant du métro avec le casque sur les oreilles, chapeau vissé sur la tête, emmitouflé dans mon épais manteau, après une journée de boulot sans doute chiante, je gravis les marches qui m'amènent à la sortie et là, à l'instant où je constate que a neige s'est mise à tomber dans la nuit naissante, ma "play list" tombe sur le prélude de Bach en Do Majeur (voir ici), un morceau de piano très doux. Voir ainsi la neige tombée accompagnée par un morceau, c'est le hasard qui venait me dire : "observes, vois comme c'est beau." Je me suis arrêté deux minutes, à contempler la neige tomber, le temps que le morceau se termine.

La seconde situation, sans doute un peu plus clichée, s'est produite ce week end, samedi soir pour être exact. C'est néanmoins un sentiment bien réel de tendresse et de sérénité qui m'a envahie à ce moment là. J'endormais ma fille de 7 mois dans mes bras, comme presque chaque soir, en déambulant doucement dans le salon où la radio diffusait je ne sais plu trop quoi. Les yeux de la petite se ferment petit à petit, je me décide alors à me diriger vers sa chambre pour la coucher. Au moment de franchir le palier du salon, la radio diffuse "Hallelujah" de Jeff Buckley (écouter ici). Que dire de plus. Devant son enfant qui s'endort on ne peut que s'attendrir de ce petit miracle. J'ai donc prolongé la séance d'endormissement câlin le temps de la chanson.

Tout ça pour dire finalement que les gens courent souvent après je ne sais quelle réussite, je ne sais quelle vision du bonheur sur-vendue dans les magazines, la télévision ou plus généralement dans notre société de consommation. Mais ils ratent alors l'une des choses qui rend vraiment heureux, les petits bonheurs, ceux auxquels on ne fait pas souvent attention, mais qui, si le hasard aide un peu et qu'on accepte de s'y arrêter, n'attendent que d'être vécus et de nous combler, même si ce n'est que pour quelques minutes.